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Selon, l’enquête mensuelle auprès des banques sur la distribution du crédit en France réalisée par la Banque de France, le crédit à la consommation à la cote dans les banques.

Actualité Finance

Demande de prêt à la consommation : un solde d’opinion positif en mars

A en croire les chiffres publiés par la Banque de France, le crédit à la consommation a la cote dans les établissements bancaires. Les responsables de banque interrogés par l’institution ont constaté une demande de crédit à la consommation en nette progression en mars.

Le mois dernier, le solde d’opinion a enregistré une hausse de 39 points de base pour ce type de financement. Un niveau qui n’avait plus été atteint depuis printemps 2015 (+61 en mai 2015).

Rappelons que ce solde d’opinion est la différence entre les réponses positives et les réponses négatives des responsables des banques qui participent à l’enquête de la Banque de France sur la distribution du crédit.

De ce fait, de nombreux banquiers estiment que les demandes des ménages en prêt à la consommation ont progressé en mars par rapport au mois précédent.

La banque de France estime une augmentation

Certes, l’institution n’a pas encore rendu public sa prévision concernant la production des prêts à la consommation sur le mois de mars, mais pour févier, la Banque de France estime une production de 4,3 milliards d’euros de nouveaux crédits à la consommation.

Cette estimation est en légère progression par rapport à celle de janvier (4 milliards d’euros). Par ailleurs, cette augmentation observée par les banquiers colle parfaitement avec les prévisions de l’association Française des sociétés financières (ASF).

Rappelons que les études de l’ASF concernent plus de 50 % du marché du prêt à la consommation, elles concernent principalement les banques spécialisées. Pour les enquêtes de la Banque de France, elles sont réalisées en priorité auprès des banques « classiques », cela représente 53 % de la production des financements à la consommation.

Dans cette configuration, force est de constater que la tendance haussière de ce type de financement profite à la fois aux prêteurs classiques et aux banques spécialisées.