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Aujourd’hui, un emprunteur ayant un bon profil peut trouver un crédit immobilier à 1,30 % sur 20 ans. Même les profils jugés risqués peuvent s’endetter à 1,85 % sur 20 ans. Même si la tendance est inédite, certains facteurs montrent que le mouvement baissier n’est pas fini.

Actualité Finance

Faut-il s’attendre à une nouvelle baisse des taux d’intérêts immobilier ?

Les banques, les intermédiaires bancaires, les assureurs… sont unanimes, les taux d’intérêts des financements immobiliers sont historiquement bas avec des moyennes inédites. Cette tendance concerne tous les projets de financement à l’habitat (travaux, crédit et rachat de prêt) et tous les profils emprunteurs peuvent en profiter.

Si certains spécialistes qualifient la tendance actuelle d’historique ou de jamais vue, force est de constater qu’elle n’est pas encore finie et que la baisse pourrait même s’accentuer dans les semaines à venir.

En fait, le taux des obligations assimilables du trésor à 10 ans (OAT 10 ans) de l’Allemagne vient de tomber en zone négative pour la première fois de son histoire. Si l’OAT 10 ans de la France suit la même tendance, les banques pourraient mécaniquement abaisser leurs barèmes,

Même si les établissements bancaires empruntent gratuitement auprès de la Banque centrale Européenne, l’OAT 10 ans reste la principale référence pour fixer le taux d’intérêt des prêts à l’habitat.

Les taux bas ouvrent de nouvelles perspectives

Comme à l’accoutumée, les financements à l’habitat servent de principaux produits d’appels pour les établissements prêteurs afin de conquérir de nouveaux clients.

C’est une autre raison pour laquelle la tendance baissière des coûts du crédit pourrait continuer, compte tenu de la rude concurrence que se livrent les établissements bancaires.

En fait, accorder ce type de financement à des particuliers assure toujours un bon rendement aux prêteurs, surtout dans la conjoncture actuelle où ils doivent payer pour placer leurs liquidités auprès de la BCE.

Ainsi, la tendance actuelle améliore le pouvoir d’achat des acquéreurs en particulier les primo-accédants et les ménages modestes. Elle ouvre également des perspectives de rachat de prêt à ceux qui n’y étaient pas éligibles.

Le rachat de crédit est à la mode

A ce jour, tous les baromètres constatent un retour en force des primo-accédants sur le marché de la pierre. Ce profil représente désormais 40 % des financements accordés, contre à peine 35 % en 2015.

A ce jour, le marché des financements à l’habitat est en croissance et le volume de transactions ne cesse d’augmenter. Par ailleurs, les statistiques montrent aussi le retour en force des opérations de rachat de prêts.

Ce type d’opération bancaire permettant d’optimiser le coût global de son financement est en train de revenir à la mode. Certains profitent même des conditions actuelles de crédit pour faire racheter leurs encours pour la deuxième ou la troisième fois.

Selon les dernières publications de la Banque de France, le nombre des demandes de rachat et de renégociation de prêt à l’habitat est reparti à la hausse, après deux mois de stagnation.